le ventilateur V60 mode VNI
le V60 permet aussi l(OHD
comprendre la VNI
VIDEOS BOULOT
VENTILATION ET MEDICAMENTS:
VVP pose diff :
bon a savoir
VITAMINES DEFFICIT VITAMINES :
valium gouttes 1%
1g/100ml
1000mg/100ml
1mg/100sur1000soit0,1
10mg/100sur1000x10 soit 1cc
100ml/1000mg
ou 100ml/1000mg
1ml/ 1000sur100soit10mg
VERTIGES
VIDAL
clottafac
aclotine
VENTILATION MECANIQUE ( LES MODES ) :
LA V.A.C
http://www.sffpc.org/index.php?pg=vac_presentation_1
comprendre la mise en place du système
AUTRES VIDEOS DEMO :
VIDEOS:
une ? peut etre en un clic la reponse video a votre question
http://www.medicalexpo.fr/video/index.html
http://www.msdmanuals.com/fr/professional/pages-with-widgets/videos?mode=list
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VIDEOS APHM
http://www.youtube.com/playlist?list=PL6261A047666C1177
http://www.youtube.com/APHMarseille
VIDEOS divers a cliquer
http://www.doc-dz.com/f208p100-formation-examen-clinique-en-video
VPP
VNI :
Comment régler le respirateur pour une séance de VNI ?
Le principal mode ventilatoire utilisé en VNI est la ventilation spontanée avec aide inspiratoire (VS-Ai). Des modes contrôlés en pression ou en volume ainsi que des modes partiels peuvent également être utilisés. Nous ne détaillerons ici que les réglages de la VS-Ai.
Trigger inspiratoire : Il correspond à la valeur de dépression intrathoracique (trigger en pression) ou de débit inspiratoire (trigger en débit) généré en début d’inspiration par le patient et que le ventilateur reconnaît comme signal d’insufflation. Il doit toujours être réglé au minimum sans être responsable d’auto-déclanchement.
Pente : La pente correspond à la vitesse de montée en pression. Plus les patients ont une composante obstructive (débit inspiratoire élevé), plus elle doit être courte [1]. Chez les patients restrictifs elle ne doit cependant pas être trop longue car le travail respiratoire augmente avec la diminution de la pente, même chez les patients restrictifs [2]. Ce réglage doit être individualisé mais le plus souvent vers des montées en pression rapides.
Niveau de Pression : Le choix du niveau de pression doit intégrer le niveau de d’aide inspiratoire (AI) et le niveau de pression expiratoire positive (PEP). Il faut en permanence envisager la balance bénéfice-risque lorsqu’on augmente les pressions entre nécessité de support ventilatoire pour la pathologie et augmentation des fuites et de l’inconfort. Les valeurs d’AI sont usuellement entre 5 et 12 cm H2O et la valeur de PEP entre 5 et 10 cmH2O. On admet que PEP + Ai ne doivent pas dépasser 20 cmH2O la plus part du temps. L’augmentation de l’Ai ne diminue pas forcément la sensation de dyspnée [3].
Trigger expiratoire : Le réglage du trigger expiratoire est possible sur les respirateurs de dernière génération. Il permet de limiter le temps inspiratoire et facilite donc le confort du patient. La valeur de base est souvent de 25 % du débit inspiratoire mais on peut l’augmenter jusqu’à 50 ou 60 % en cas de fuites ou chez le patient avec un syndrome obstructif ou lorsqu’il existe des fuites. Quand on ne dispose pas de trigger expiratoire, on peut régler un temps d’inspiration maximal (Timax) généralement de l’ordre de 1s.
Trigger inspiratoire : Il correspond à la valeur de dépression intrathoracique (trigger en pression) ou de débit inspiratoire (trigger en débit) généré en début d’inspiration par le patient et que le ventilateur reconnaît comme signal d’insufflation. Il doit toujours être réglé au minimum sans être responsable d’auto-déclanchement.
Pente : La pente correspond à la vitesse de montée en pression. Plus les patients ont une composante obstructive (débit inspiratoire élevé), plus elle doit être courte [1]. Chez les patients restrictifs elle ne doit cependant pas être trop longue car le travail respiratoire augmente avec la diminution de la pente, même chez les patients restrictifs [2]. Ce réglage doit être individualisé mais le plus souvent vers des montées en pression rapides.
Niveau de Pression : Le choix du niveau de pression doit intégrer le niveau de d’aide inspiratoire (AI) et le niveau de pression expiratoire positive (PEP). Il faut en permanence envisager la balance bénéfice-risque lorsqu’on augmente les pressions entre nécessité de support ventilatoire pour la pathologie et augmentation des fuites et de l’inconfort. Les valeurs d’AI sont usuellement entre 5 et 12 cm H2O et la valeur de PEP entre 5 et 10 cmH2O. On admet que PEP + Ai ne doivent pas dépasser 20 cmH2O la plus part du temps. L’augmentation de l’Ai ne diminue pas forcément la sensation de dyspnée [3].
Trigger expiratoire : Le réglage du trigger expiratoire est possible sur les respirateurs de dernière génération. Il permet de limiter le temps inspiratoire et facilite donc le confort du patient. La valeur de base est souvent de 25 % du débit inspiratoire mais on peut l’augmenter jusqu’à 50 ou 60 % en cas de fuites ou chez le patient avec un syndrome obstructif ou lorsqu’il existe des fuites. Quand on ne dispose pas de trigger expiratoire, on peut régler un temps d’inspiration maximal (Timax) généralement de l’ordre de 1s.
VASCULARITE /PATHOLOGIES VASCULAIRES:
VNI DE DOMICILE :
le resmed
autres modeles
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